Éditeur : Sony Interactive Entertainment
Dates de sortie :
Alors… J’ai un souci avec Horizon : Zero Dawn. Je l’ai attendu pendant des années comme le messie. J’avais d’ailleurs fait une chronique radio qui disait que je l’attendais comme le messie, ce qui tend à prouver mes dires. Puis il est sorti, je l’ai eu entre les mains, je l’ai installé, j’y ai joué. Et il était exactement comme on me l’avait vendu. Il proposait un personnage féminin attachant et fort. Il balançait des graphismes incroyables et prouvait ainsi que la PS4 pouvait vraiment casser la concurrence si elle s’en donnait la peine. Il était pensé aux petits oignons, avec un lore complexe et profond, des ennemis magnifiques, un système de combat sympathique, des quêtes annexes pas si faciles, un monde ouvert très vaste… Oui, c’était exactement le jeu que j’attendais, celui qu’on m’avait vanté. Pour une fois, on ne m’avait pas menti.
Eh bien, croyez-le ou non (mais croyez-le parce que c’est vrai) : je m’y suis ennuyé comme jamais. Je n’ai jamais eu envie de persévérer, je n’ai jamais été touché par quoi que ce soit dans ce titre. J’ai détesté le système de combat que j’ai trouvé trop répétitif… Bref, je n’ai pas aimé ce titre. Pourtant, il est objectivement fabuleux et n’a rien à se reprocher. Aujourd’hui encore, je ne sais toujours pas pourquoi je n’ai aucune attirance pour ce RPG qui est, je le répète, de qualité.
Zero Dawn est techniquement incroyable et mérite largement que l’on s’attarde sur son cas. Mais je ne comprends pas pourquoi, alors que d’habitude je sais être objectif et trouver le meilleur et le pire dans n’importe quel titre, je n’ai pas réussi à y accrocher. Je le répète : il est trop parfait, en fait. Tellement parfait qu’il en devient peut-être trop lisse.
Etat correct